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    Activités passées 2015

    Lundi 23 février 2015 à 20 h

    Les champignons qui se ressemblent 

    Georges étant souffrant c'est Gérard qui présentera le diaporama que Georges a préparé pour cette soirée sur le thème suivant  "les champignons qu'il ne faut pas confondre".

    Lundi 2 février 2015 : La revégétalisation en montagne par Louis Trosset .

    Lundi 26 janvier 2015 :

    Gérard a présenté un magnifique diaporama qui a permis de réviser les noms de nombreuses espèces de fleurs et de champignons que nous avons pu découvrir au cours des sorties . 

    Lundi 5 janvier 2015 :

    Les myxomycètes par Gérard . 

    Lundi 8 décembre

    La famille des Batraciens  (Amphibiens)

    Ce soir, pour changer un peu des fleurs et des champignons c’est Jean-Pierre Joly responsable à l’O.N.C.F.S. qui nous a présenté les batraciens (amphibiens), tritons, grenouilles et crapauds, tous familiers, comme les têtards, mais assez peu connus en général, dont voici certaines espèces:
    • 1. Les urodèles (avec une queue): du triton noir de haute montagne à la salamandre terrestre commune, noire et jaune, en passant par le triton alpestre aux belles couleurs de poisson, les tritons crêtés, palmés ou ponctués, qui aiment l’eau et sont de petite taille.                        
    •  2. Les anoures (sans queue): du crapaud commun, à la peau verruqueuse, mais ami des jardiniers, à la grenouille rousse, (celle qui est pêchée), en passant par les crapauds calamites ou accoucheurs (oui!) et par les grenouilles vertes, (qui chantent beaucoup !) et les petites rainettes, toutes deux amies des mares d’eau, sans oublier la petite grenouille jaune et bleue aux curieux yeux rouges.
    • Merci à Jean-Pierre Joly, qui nous parla aussi des efforts faits pour leur éviter de se faire écraser, pour les espèces qui migrent des forêts vers les plans d’eau, au printemps, lors de la période de reproduction, à l’aide de barrages en filets et de récupération manuelle ou de crapauduc.
    • Il nous parla aussi d’un nouveau danger qui guette les batraciens, un champignon pathogène( le chytride ) qui prolifère dans certaines régions de France (Pyrénées ) et en Suisse

    1. La Salamandre
      La Salamandre
      La Salamandre
    2. La grenouille rousse
      La grenouille rousse
      La grenouille rousse
    3. le crapeaud
      le crapeaud
      le crapeaud
    4. La grenouille verte
      La grenouille verte
      La grenouille verte
    5. Grenouille victime du champignon
      Grenouille victime du champignon
      Grenouille victime du champignon

    La chytridiomycose :

    • Une maladie mortelle menaçant les amphibiens en France.La liste rouge mondiale 2009 des espèces menacées de l’UICN est claire, 30% des amphibiens du monde entier son actuellement menacés d’extinction.
    • De pire en pire, la menace s’accroît en France à cause des ravages du champignon chytride dans le pays.
      La chytridiomycose : une maladie causée par un champignon nommé chytride
    • L’extinction accélérée des amphibiens en France et dans le monde est principalement due à l’anéantissement de leurs habitats à cause de l’urbanisation, du réchauffement climatique mais également de la pollution de l’eau et de l’air. A côté de ces menaces déjà existantes s’ajoute le champignon Batrachochytrium dendrobatidis, plus connu sous l’appellation de chytride. Ce champignon est l’élément responsable de la chytridiomycose, une maladie fongique capable de décimer les batraciens en très peu de temps.
    • Identifiée à la fin des années 90 en Amérique Centrale et en Australie, cette moisissure se développe généralement sur des substances organiques mortes ou encore des surfaces humides et perméables comme la peau des amphibiens. A mesure que le champignon se développe, il engendre en même temps la chytridiomycose dans l’organisme du batracien. La transmission de la maladie se fait généralement en milieu aquatique.
    • La chytridiomycose est actuellement bel et bien présente sur le territoire européen, notamment en Grande-Bretagne, et en Suisse. La France a récemment constatée les ravages de cette maladie sur plusieurs espèces d’amphibiens présents sur le territoire.
    • Pour pouvoir mettre en place des mesures draconiennes de limitation de la propagation de la chytridiomycose chez les amphibiens, les scientifiques vont faire des recherches sur les amphibiens décimés par la maladie et également sur les espèces capables de résister à son évolution.
    • Jusqu’à présent, les scientifiques ont la certitude que le champignon responsable de cette maladie craint la température élevée, l’alcool ou encore la déshydratation. Ces éléments constituent des données importantes à même de fournir des pistes intéressantes dans la prévention et le traitement de la chytridiomycose chez les amphibiens.


    Le 24 novembre 2014

    • Gérard nous présenta les différentes toxicités présentées par certains champignons.
    • Des empoisonnements présentant des symptômes (syndromes) différents, avec des durées d’incubation courtes (les moins dangereux) ou longues (les plus dangereux), la durée de plus ou de moins de 6 heures (en moyenne) constituant une bonne indication de la gravité et du type d’intoxication.
    • Une toxicité innée (existant dans une espèce de champignon), ou acquise par une pollution extérieure.
    • C’est un sujet complexe, qui fait partie de notre souci d’éviter au public des accidents parfois graves et même mortels, par une mise en garde, des conseils de prudence ou pratiques, comme le fait de prendre le champignon en entier, sans couper le pied, afin de vérifier s’il y a présence ou non d’une volve au bas du pied, comme l’ont les amanites mortelles.

    • En résumé, un documentaire très précis et très complet, dont nous remercions Gérard pour l’information ainsi apportée à nos adhérents.


    Le Lundi  17/03 2014

    La section mycologique et botanique du Foyer Rural de Montmélian a accueilli Louis GIRARD, professeur agrégé de SVT ancien professeur des Classes Préparatoires aux Grandes Ecoles (agro), Groupe mycologique et botanique de Neuville-Sur-Saône (69)qui a fait un exposé de haute tenue sur le thème
    LES GALLES ET AUTRES MONSTRUOSITES VÉGÉTALES
    Voici un sujet qui intéressa, nos botanistes et même les mycologues. Il s’agit des galles que l’on trouve partout sur les arbres, sur les plantes, même cultivées. Ces excroissances et ces renflements de toutes formes et de diverses couleurs, Gérard nous en avait apporté aux Floralies 2013 et les avait montrés aux adhérents de la société de Neuville sur Saône. Tout le monde en a vu, mais personne ne sait exactement ce que c’est, sans se douter qu’il y a plus de 1500 sortes de galles différentes, causées par des insectes, des champignons et des virus, chaque plante hôte ayant son type de galle
    La présentation de qualité de Louis Girard avec de très belles diapos à l’appui a captivé son auditoire.

  • Visitez le site de la Confédération Nationale des Foyers Ruraux
  • Foyer Rural de Montmélian
  • Espace François Mitterrand

    73800 Montmélian

    04 79 33 81 92